Toufic Farroukh décrit sa vision de l’ailleurs dans son dernier album : « Les villes invisibles ». Treize utopies urbaines et réalités musicales comme son prédécesseur, Italo Calvino, qui lui, les avait créées par le verbe. Une parfaite réussite de la mondialisation musicale que ce pont entre l’Égypte et le Brésil, « Rio de Cairo » démarre sur un air de Mohammad Abdel Wahab « Ana Wil Azab Wihawak » avec des mots écrits et chantés par Naima Yazbek, Libano-Brésilienne de São Paulo, en portugais.
« En voyageant, on s’aperçoit que les différences se perdent. » Extrait - Les villes invisibles d’Italo Calvino.